Découverte N°7 – La Nouvelle-Zélande
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers la Nouvelle-Zélande.
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Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers l’Australie.
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers l’Inde.
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers l’Afrique du Sud.
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers le Canada.
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers les Etats-Unis.
Découvrir les aspects culturels d’une langue vivante étrangère et régionale à travers le Royaume-Uni.
Durant toute la scolarité, l’enseignement de l’histoire et de la géographie transmet les compétences et connaissances nécessaires à la compréhension des environnements culturels, historiques et spatiaux. Les attendus des professeurs au collège sont nombreux mais une attitude volontaire et constructive permet d’y répondre. Tout d’abord il faut être sérieux en classe. Cela passe par une écoute attentive des leçons et une participation constructive. Il faut se concentrer lors de la réalisation des exercices et noter leur correction. L’écoute attentive permet aussi de noter les nombreux conseils que donne le professeur pour réussir. La tenue du classeur est importante et il est nécessaire d’avoir son matériel. Un élève veille toujours à rattraper les cours en cas d’absence et à se renseigner sur les contrôles et les devoirs à faire. Pour réussir, un élève doit maîtriser le vocabulaire étudié durant la leçon et savoir le réutiliser en cours et lors des évaluations. Il réalise des sketchnote comprenant les principales notions étudiées ainsi que des dates importantes et des personnages. Pour savoir si l’on maîtrise un cours, il faut être capable de préciser les principales parties du cours, les différentes idées, et de les justifier avec des exemples.
Les êtres humains vivent différemment selon le territoire où ils résident. Leur façon d’habiter a des conséquences sur leur espace de vie. Les humains cohabitent entre eux sans qu’ils n’aient forcément les mêmes activités ni les mêmes pratiques de leur espace. Ces façons d’habiter dépendent beaucoup des types d’espaces dans lesquels ils vivent mais aussi du poids de leur histoire ou des contraintes naturelles qu’ils subissent. Dans le monde, la plupart des paysages ne se ressemblent pas. Ils reflètent une grande variété des formes d’occupation.
La planète est peuplée de 7,5 milliards d’êtres humains, mais cette population est inégalement répartie sur la surface de la Terre. Elle se concentre dans plusieurs grands foyers de peuplement, dont certains sont parfois très anciens. À l’opposé de ces foyers très densément peuplés, des espaces sont relativement vides d’êtres humains. Cette répartition de la population mondiale est le fruit de divers héritages. L’histoire, la culture, les contraintes naturelles expliquent notamment cette installation des humains sur Terre.
Les littoraux concentrent une part croissante de la population et des activités. Ces activités liées au commerce international, à l’industrie ou encore au tourisme, génèrent de nombreux aménagements spécifiques qui s’étalent parfois massivement sur les littoraux. Ces constructions bouleversent un environnement souvent vulnérable, dont la faune et la flore sont à protéger. Les littoraux sont habités de différentes façons. Cette cohabitation entre différentes activités et différents acteurs provoque parfois des concurrences et des conflits.
Les espaces de faible densité à vocation agricole regroupent à la fois des espaces où l’agriculture est commerciale et des espaces où l’agriculture est traditionnelle et à faible rendement. Dans les espaces agricoles riches et productifs, situés en majorité dans les pays développés et émergents, l’agriculture est fortement mécanisée et intensive. Dans les espaces où l’agriculture est traditionnelle, principalement dans les pays en développement, elle sert avant tout à nourrir les paysans et leurs familles. Dans ces espaces de faible densité, la vocation agricole disparaît parfois au profit de nouvelles activités.